Ca casse les couilles franchement.
De prendre toujours les "bonnes" décisions, je veux dire.
De pas se vautrer dans la torpeur d'un corps chaud en se disant "rien à foutre qu'il me respecte pas, je suis trop bien là" parce qu'on sait que c'est mal.
De pas se lancer dans un truc qui pourrait être formidable parce que le mec est déjà pris, et que c'est mal.
De pas rappeler son dernier plan cul, même si c'est le printemps et que c'était plutôt sympa avec lui en fait, parce que c'est MAL.
Ca casse les couilles de voter dans le seul but de mettre une branlée au FN.
Ca fait grave chier d'aller chez cette psy qui a tellement de dossiers qu'elle pense que je suis prof et en thérapie depuis 8 ans.
C'est comme la vulgarité, franchement ça me troue le cul.
Si j'avais fait tous les mauvais choix, j'aurais un mec, des best sellers putassiers, des copines pour combler tous les soirs de ma semaine – et sûrement une condamnation pour meurtre sur le dos, mais c'est une autre histoire.
Mais comme dirait Elphaba, "no good deed goes unpunished".
Parfois, c'est être moi-même qui me casse les couilles.
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