En milieu de semaine dernière, j'ai eu un coup de blues. Rien de plus normal quand on est à 10 000 km de sa chatte adorée et de quelques humains assez fainéants courageux pour ne pas m'avoir encore évacuée de leur vie.
Pour remédier à ce coup de mou, je ne pouvais donc ni faire un gros câlin à mon Maine Coon, ni aller manger du vin avec les copines.
Qu'est-ce qu'il reste dans ces cas-là ?
La musique.
Je me suis donc accordé une pause dans ma journée de dur labeur pour checker si un concert n'aurait pas échappé à mon radar expert.
Et en fait oui.
J'avais bien vu que Justin Timberlake jouait dans la plus grosse salle de Montréal (le Centre Bell, ex Centre Molson, 21 500 places, 12 000 étages et beaucoup de stands de nourriture) mais à l'époque les billets étaient beaucoup trop cher pour mon budget de 400€ par mois.
Sauf que là on était quatre jours avant le concert et les prix étaient bradés. Je me suis donc délestée d'un dixième de mon budget avec ravissement.
Puisque Justin Graou Trudeau ne semble pas répondre favorablement à mes appels du pied répétés, j'ai décidé d'attirer son attention et sa jalousie en me frottant à son homonyme sur son territoire.
J'ai toujours des stratégies très payantes en amour.
Bref JT est arrivé dans tout son swag et son sportswear. Il nous avait préparé une petite tournée sur le thème de la nature (parce que c'est hyper écolo, une tournée avec autant de matos sur 5 continents #cohérence #etatsunisdamerique)
C'était carré. C'était efficace. C'était conséquent (2h de show). La première partie était consacrée à son jeu de jambe légendaire et à tous ses hits qui sont bougeage de popotin friendly et la deuxième plus posée, autour du feu de camp (véridique), avec de l'herbe qui pousse en regardant les vrais arbres qu'il a vraiment coupé pour décorer sa vraie scène.
Bon, c'est filmé de haut et c'est flou mais si vous voulez voir ce que ça donne :
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