http://heightsjohnson.blogspot.fr/2011/07/not-meant-for-me.html#comment-form
Morceaux choisis :
"Je ne supporte pas qu'on me dise "non", et c'est pour ça que je le dis beaucoup.
Même si ma boulangère n'avait plus de baguette pour moi, je le prendrais personnellement."
"On me demandait, il y a peu, pourquoi je ne laisse de chance à aucun
garçon. Parce que j'ai peur de ça justement. De la perte inévitable, à
court ou long terme, de cette idée de la fin que je n'arrive pas à occulter.
De ma propre fin si jamais un garçon devenait trop important, assez pour que je le crois ma seule raison de vivre."
"C'est aussi pour ça que je quitte les gens. Je maîtrise la fin. Je suis Dieu.
C'est pour ça que je cours partout, pour éviter d'avoir trop envie de jouer à Dieu avec ma propre vie.
Le "non" définitif, pour un job,
une relation, ou le refus d'une de mes idées, me tue toujours un peu
plus. Alors, pour l'éviter un maximum, je me coupe de plus en plus des
gens qui auraient le pouvoir de me dire non.
Mais on arrive toujours à me
surprendre. Des gens ne se gênent pas pour contourner toutes les
précautions que j'ai semé derrière moi et méritent une condamnation
pour haute trahison, du moins, dans mon tribunal intérieur."
LoL, non ?
A force de couper les ponts avec tout le monde, on ne fait que se retrouver face a soi même. Notre pire ennemi interieur. Et crois moi, dans ton tribunal interieur, toi meme ne peut que te rendre coupable de tes propres crimes.
RépondreSupprimerC'est tout le contraire justement. Je ne suis en paix que lorsque je suis parfaitement seule, sans intrusion extérieure autre que maîtrisée. Je m'entends très bien avec moi-même, je suis loin de me considérer comme mon pire ennemi, même si j'ai pu l'être. Enfin, je ne coupe pas les ponts avec tout le monde, je fais le tri, le ménage, pour qu'il ne reste qu'un cercle restreint car, au final je n'ai besoin que de très peu de gens, surtout quand ils ont la qualité de mes amis proches.
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