jeudi 26 juillet 2007

Boy, she's above love, open your eyes...


[...And glad to be blind
When love shines]

Hum. Si je vous dis que je ne suis plus la même, que j'ai "changé" en l'espace d'un an, vous allez pas être assez con pour m'élire présidente de la république ?

En gros maintenant, je suis le type de fille à vivre avec un joli garçon aux cheveux soyeux 10 heures par jours cloîtrée entre quatre murs blancs. Et j'aime ça.

Non c'est pas ce que tu crois, naïf petit lecteur. Heights n'est pas devenue "aimable" par intervention divine sous cutanée.

Le dit-garçon a beau être blond, habillé avec nawakitude calculée, être né la même année que moi... ben, ce n'est qu'mon collégue de travail du moment.

Autant vous dire que la concentration c'est pas ça pour le guide économique sur lequel on nous a enchaînés. Pourtant, on est en plein bouclage.

Le bouclage c'est un truc sympa qui fait péter les plombs de tout le monde.

Un peu comme si tu t'apercevais deux jours avant le bac que t'avais rien révisé parce que t'avais piscine.

Le bouclage tu l'aimes ou tu le quitte.

Le bouclage, en fait, c'est ce qui me fait me lever le matin et qui financera les frais d'agence pour mon futur appart', vu que comme je bosse j'ai pas le temps de chercher C.Q.F.D.

Le bouclage m'oblige à être à la fois : standardiste-opératrice de saisie-correctrice-reliseuse-rédactrice-distributeuse de courrier-envoyeuse de colis-maquettiste-vérificatrice de donnée-téléactrice-chercheuse diplomée en google et fatiguée aussi.

C'est pour ça que j'ai rien trouvé de mieux que réouvrir mon blog.

Parce que je suis un peu en manque d'activité intellectuelle là.

Sinon, c'était comment la vie sans moi ?

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