jeudi 18 août 2011

I used to rule the world

Seas would rise when I gave the word
Now in the morning I sleep alone
Sweep the streets I used to own


Je suis bloquée dans tout ce que je fais, dans tout ce que je pense, par un garçon. Et un seul garçon. Là où mon esprit trouve l'apaisement en rebondissant sur une multitude de faciès (imaginaires ou non), ça fait bien 2 mois que je ne pense plus qu'à l'un d'entre eux. 
Il faut dire qu'il est plastiquement parfait. Et que, Antinoüs à part, je n'ai plus dit ça depuis...
Depuis que la réplique d'un dieu du stade (plus digne de Leni Riefenstahl que de l'ovalie) était allongée sur mon lit et que je pouvais passer des aprem' entiers à le regarder faire la sieste. Pas parce que j'étais amoureuse de lui, mais parce que j'étais persuadée d'être absolument indigne de sa plastique parfaite. Je me disais réellement que jamais je n'aurais pensé pouvoir être aussi près d'un marbre humain. Après je m'insultais intérieurement de ne pas dépasser le niveau "Bella Swan" d'une relation malgré mon côté non-mormonne. 

Je me suis souvenue aussi d'une phrase lancée très calmement alors qu'il se moquait d'une de mes relations  tarabiscotées - du genre extra-ordinaire - avec un autre garçon que lui, ce qui le chafouinait fortement. Je lui ai dit : "Il sera encore dans ma vie quand toi tu ne le seras plus depuis longtemps.". Prophétie réalisée.

Les sentiers battus battent parfois la pierre.

Trêve de billevesées, on est là pour parler de Prague et être estivaux non ? Alors fuck Paris plage et here we go : 
Les premiers matins (ouais, midis, ok, mais spatellementnot'faut' tellement on avait de voisins qui voulaient prendre leur douche avant nous et que limite on a dû mordre pour se faire une place au soleil)(bref, on a fini par très vite prendre nos douches le soir, avant ou après que les dits voisins qui se cocotaient pour sortir en boîte)(certes, c'était une très longue parenthèse), une fois le supermarché trouvé, c'était pain/fromage/erzatz de nutella & thé en terrasse. Alors même si la vue n'était pas joisse, nous, on l'était fort fort. Le calme avant la tempête (c'est à dire "marcher 10 km alors qu'on avait un itinéraire de 5 parce qu'à chaque fois qu'une rue bifurquait il FALLAIT qu'on explore l'inconnu"). 




Mais on tombe aussi sur des territoires pas du tout inconnus et encore moins inexplorés AKA par exemple : L'horloge astronomique de la place de la vieille-ville, ou les calèches de chevals de la place de la vieille-ville ou les grosses églises de la place de la vieille-ville.

Avec Coralie, on aimait bien la place de la vieille-ville (staromestske namesti) en fait du coup on a fait notre dernier film de vacances ou presque en terrasse là-bas : 

1 commentaire:

  1. Tarkan <3

    Et encore heureux que tu la payes pas ! C'est une STAGIAIRE !!

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