mardi 15 décembre 2009

H-quelques minutes avant mon passage sur TF1 (le premier d'une longue liste de... deux), puisque ma classounette (oui, 14 personnes, c'est une classounette, ce que la bolinette est au bol, m'voyez ?) et moi avons été kidnappés mercredi dernier derrière la Sorbonne (et devant le lycée Louis le Grand) par un car en partance pour le nord de la France, c'est à dire : la plaine St Denis.

Nous avons tous un peu frémis de concert lorsque le panneau de fin de ville fut dépassé, mais lorsque nous nous sommes aperçus que l'oxygène ne se raréfiait point, nous fûmes tous soulagés.

En gros, Michel F. présentateur vieux, roux et bouclé (deux très très grosses infractions au code de dating des Princesses se sont glissées dans cette liste de qualificatifs, sauras-tu les retrouver ?) nous a invité pour user de notre temps de cerveau disponible sur sa chaînette (TF1, anyone ?). Chroniqueurs littéraires d'un jour (mais de deux nuits, magie de la télé !), nous étions tous habillés comme des papes préparés à imposer notre charisme universel aux yeux du monde et à promotionner avec envergure le projet d'édition Hors Champ.
Bon.

Je commente en direct de l'émission donc.

Voila. Du coup on voit trois centimètres de ma robe rouge et quatre mèches de cheveux roux (ah ouais, une auburn sur robe rouge, sur canapé orange, ça tâche...), trop classe.
Concernant la seconde émission, ils seraient kamikazes de pas me couper au montage vu que j'ai balancé un truc pas très gentil à mon invitée à moi, qui se prenait pour une sorcière, et qu'en essayant de retrouver la raison elle a oublié ma question fort pertinente improvisée en deux minutes (dans le but délibéré d'être ...coupée au montage en fait).

TF1 a été un peu pingre sur le déjeuner, un quart de sandwich au pain de mie par personne et un mini paquet de chips leader price, trois bouteilles de coca pour 35. On a pu garder les livres sur lesquels on a bossé, Hallelujah.
Grandeur d'âme de la grande chaîne.

Finalement sur la diffusion de notre message promo ils ont été réglos, et on est passé tout au début, donc tôt, quand les gens n'ont pas encore piqué du nez.

Le décor était assez cheap, agrafé de partout, bricolé, les caméramen se cassaient régulièrement la gueule, respiraient fort et se parlaient dans les talkie en couvrant la voix des invités parfois. Non je n'ai rien contre les caméramen. Certains sont très gentlemen only. J'en ai fait l'expérience.

Voila pour l'instant, la suite après délibération !

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