Je dors une nuit sur deux, je mange un repas sur trois, je me remets aux jeux vidéos, je grogne dès qu'on aborde la question épineuse du travail et mon occupation journalière est de relire mon adolescence pour l'archiver.
(Vous avez vraiment des goûts douteux ma fanbase, j'écrivais vraiment n'importe quoi n'importe quand)
Donc non, on ne peut pas dire que j'aille bien.
Limite, accrochez vous, je suis presque en passe de me dire que je trouverai un copain avant un boulot.
Ouais.
Sachant qu'il y a 15 jours je chouinais à mon gay friend des trucs sur mon futur de vieille fille qui pourrira dans son 20m² sans même un seul chat, ça vous donne une idée de l'état du marché du travail à l'heure actuelle.
Je suis désespérée.
Gimme a job !
A côté de ça, l'imaginaire repart, dans ma tête, pour l'instant, loin de tout traitement de texte (déconnez pas, je vais pas tuer ma superbe suite de 6 mois sans rien produire de potable). Si je m'y remets, je reprendrai ce que le grand conseiller au culte Heightsien m'a conseillé dans un mail, long time ago.
Bonus track post Semaine de l'hormone : Ben Barnes n'est pas qu'une paire de fesses c'est aussi un jeune homme brillant, lettré, éloquent, et éminemment British.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Veuillez écrire un truc après le bip visuel : BIP