jeudi 1 avril 2010

Desert, mountains, life.

Une hallucination dans le métro... l'impression de voir un ancien ami, l'air est là, alors je veux vérifier, alors je pense à ses doigts affichant une particularité flagrante. Je regarde. Et elle est là, la particularité flagrante. 

Pourtant mon instinct me maintient que ce n'est pas lui. J'ai raison. Il se lève, démarche totalement différente, et s'évanouit dans un couloir de la ligne 3.

Ligne 3... ligne de cette année... fil conducteur de ce que j'ai pu écrire (et dieu que je me suis améliorée, toute seule, comme une grande)... 

Heureux hasard ou signe certain, je récupère des enveloppes de mes anciens employeurs me fournissant tous les documents nécessaires à la déclaration fiscale de mes droits d'auteur. Ah ah.

Hum. 

La fin du salon a été un petit déchirement, comme ceux que l'on provoque en tournant une page trop vite. Ils n'empêchent pas de lire mais laissent une marque à jamais.

Des mots gentils (toujours trop peu, toujours), des mots sincères, des mots, des mots, des mots... 

Ceux de Robert Francis enfin acquis, le cache-cache improbable avec mon vendeur Fn*c préféré, et puis ceux que je vais emmener à Tokyo dans une semaine... 

Ce voyage tombe tellement à pic que je me demande comment j'ai fait pour être aussi voyante en le planifiant il y a plus de 6 mois... 

Happiness is a warm gun ...more than ever

J'ai reçu une proposition des plus intéressantes... que ferai-je, où vais-je, mais surtout avec qui ? J'ai tout le voyage pour régler les affaires courantes de mon cerveau.

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